« The Goode Family »: « Public Disturbance » (1x10)

Publié le par tejipe

Encore un épisode de « The Goode Family » dans lequel la moindre once d’humour est totalement absente. Je reste très sceptique quant à l’utilité de cette série animée. De plus, « Public Disturbance », qui se focalise principalement sur Gerald Goode, est à l’image de ce personnage, amorphe et insipide !


Après que son projet d’amélioration de la circulation a été confié à un collègue, Gerald Goode se lance à l’assaut une nouvelle quête : la création d’une radio publique à vocation culturelle... et sans publicité. Comme l’ouverture de l’antenne locale nécessite un apport financier, Gerald lance une campagne de souscription auprès de la population de Greenville. Une riche héritière lègue alors une somme importante. Il s’avère bien vite, qu’en remplissant le chèque, elle a un peu trop forcé sur les « zéros ». Elle risque, en définitif, de perdre sa maison et s’en retourne, auprès de Gerald, pour réclamer le remboursement de la somme.


Ce dernier
, qui passe d’ordinaire inaperçu, est sollicité de tous côtés, par des individus qui désirent intégrer les ondes de la radio publique. Son égo gonfle légèrement, maintenant qu’il est nommé « Directeur des programmes » et « PéDéGé de la station ». Même la brune Margo, d’habitude détestable avec les Goode, s’intéresse à lui. Le couple fait fonctionner le népotisme, car Helen anime une émission artistique, au contenu totalement incongru, dans laquelle elle décrit, à l’antenne, des œuvres d’art !


Le projet de radio publique se révèle être une arnaque absolue. Les responsables nationaux ont dilapidé la plupart des fonds récoltés dont, bien sûr, la somme versée par la vieille dame.

Ubuntu s’éveille aujourd’hui aux plaisirs de l’amour et à la subtilité de ses relations absconses. Ce grand dadais en pince pour Tanya, une intellectuelle binoclarde qui possède un look « vintage ». Le hic, c’est qu’il ignore totalement comment l’aborder ! Bliss introduit alors son cadet aux arcanes de la drague adolescente, dans laquelle il faut simuler l’indifférence, dans le but de stimuler l’intérêt du partenaire. Hélas, ce subterfuge ne fonctionne pas pour les enfants Goode. Ubuntu utilise alors une technique personnel, plus en adéquation avec sa personnalité : l’approche franche et directe. Elle possède, au moins, le mérite d’indiquer ce qui l’en est vraiment ! La stratégie fait des émules en la personne de Bliss. Bien obligée de reconnaitre sa supériorité, elle l’expérimente avec succès sur Steve, un adolescent indolent.


L’intérêt du programme émane encore une fois des personnages « politiquement incorrect », comme Charlie, le père d’Helen Goode, de Ray, le voisin de couleur ou même de Bliss, l’adolescente gentiment révoltée, en désaccord avec la mentalité bienveillante de ses géniteurs ! Je me demande s’il n’aurait pas été plus judicieux d’en faire les véritables protagonistes du « show ».


Décidément, après le pitoyable « Sit Down, Shut Up » de la « Fox », le renouveau de la série animée ne sera certainement pas assuré par ce récent projet de Mike Judge. Le téléspectateur attend la suite des aventures de « The Cleveland Show », le héros « chocolat », issu de la « Spin-off » de « Family Guy », célèbre série signée Seth MacFarlane. Pour l’instant, seul le pilote - moyennement concluant - est disponible. A suivre, donc !

Publié dans Goode Family (The)

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